Вассилис Капсамбелис на тему «Травматический невроз и понятие пост травматизма» от 11 03 24 семинар

ruticker 07.03.2025 7:25:27

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# Introduction Alors, donc on passe à ça. C'est l'introduction, donc à la 2, hein. On passe... Num... Ah, très bien. Donc attendez, je vais sortir la mienne aussi parce que je n'arrive pas à la voir. Voilà, ok, c'est parfait. Alors, là, c'est ce que nous appelons, c'est ce que la psychanalyse a appelé **névrose traumatique**, et qui par la suite va devenir **pathologie traumatique** pour finalement prendre le nom d'**état de stress post-traumatique**. Puis traumatique, puis post-traumatique. ## Une histoire Заня повя травматическому неврозу начм мы сго что сихоналикое название поня вматический невроз, который превращается в патологию. Сейчас мы можем называть это состоянием посттравматического стресса. ### Développement des chemins de fer Ce que nous connaissons avec le développement des chemins de fer, c'est-à-dire vers le 3e tiers du 19e siècle, il s'agit d'une technologie nouvelle. Les chemins de fer ne sont pas à l'époque un moyen de déplacement et de locomotion tout à fait sûr. Il y a souvent des trains qui déraillent, il y a parfois des collisions de trains. À ce moment-là, lors de ces grands accidents souvent collectifs, les personnes développent une sorte de symptomatologie, une clinique qui est exactement... Так первое клиническое описание травматического невроза, которое мы можем найти сейчас в современных источниках, появилось после X века. Поскольку это были новые транспортные средства, достаточно случались несчастные случаи, аварии, катастрофы, когда поезда сходили с рельсов и многие люди оказывались жертвами этих коллективных травм. ### Charcot et la névrose traumatique Alors, pour Charcot, qui avait donc étudié ce phénomène, il considérait que la névrose traumatique est une variante de l'hystérie, tout simplement. Alors qu'Émile Kraepelin, en 1896, qui est ce grand psychiatre allemand, a établi une nosographie de troubles psychiatriques qui est encore plus ou moins utilisée aujourd'hui. Kraepelin avait introduit la notion de **névroses d'effroi**, c'est-à-dire qu'il a utilisé un terme qui aura une grande valeur. C'est-à-dire qu'au lieu de parler de peur, il a utilisé le mot **effroi**, considérant que c'est plus l'effroi que la peur qui avait une valeur clinique dans ce que nous observons par la suite. ### Première Guerre mondiale Surtout au cours de la Première Guerre mondiale, les névroses traumatiques seront très souvent appelées **névroses de guerre**. Parce que c'est au cours de ces grands conflits mondiaux que les psychiatres et les neurologues vont observer un très grand nombre de patients atteints de ces maladies. Психиатры специалисты той эпохи начали описывать подобные клинические проявления, выделяя различные виды графических единиц для описания этих явлений. Charcot, connu pour son attention à l'étude des névroses, plaçait le post-traumatique dans le cadre de l'hystérie. ### Freud et la névrose traumatique Freud, qui beaucoup de gens ne le savent pas, a été aussi cité comme expert dans certains procès pendant la 2ème guerre mondiale pour des soldats qui ont été atteints de névrose traumatique. C'est à ce moment-là que la psychanalyse va montrer que la névrose traumatique peut être uniquement une névrose psychique, sans qu'il y ait une blessure, un traumatisme physique. C'est un élément nouveau, parce que jusqu'à présent, on considérait que pour avoir une névrose traumatique avec des signes psychiques, il faut avoir aussi des signes somatiques physiques. Donc Freud va se trouver deux ou trois fois devant les tribunaux comme expert pour défendre tel ou tel soldat qui était inapte au combat, alors qu'il n'avait aucune blessure physique. ### Développement de la notion de traumatisme Это понятие развивалось в работах Фрейда, и немногие знают о том, что Фрейд выступал в качестве эксперта на нескольких судебных процессах во время Второй мировой войны, доказывая, что те солдаты, которые принимали участие в военных действиях, у которых не было никаких физических поражений, не были ранены, но их психика при этом была затронута. ### Conclusion Nous allons définir à l'époque déjà comme **circonstance traumatique** toute situation où l'intégrité physique ou psychique de la personne est mise en danger. Cela peut être évidemment une catastrophe naturelle, par exemple un tremblement de terre, une inondation, ou encore des guerres, des accidents de voiture, des agressions, des attentats, des violences, le viol, bien entendu, etc. Mais vous comprenez que ce que nous décrivons comme circonstance liée à un traumatisme n'a pas dans la définition un lien particulier avec la dimension sexuelle, car même dans le cas où il s'agit d'une situation sexuelle, ce qui est important n'est pas le sexuel, mais la mise en danger de l'intégrité physique et psychique de la personne. # Évolution du traumatisme Le **trauma** se développe à travers un processus d'évolution et de changement du **traumatisme névrotique**. Imaginez une personne qui a été confrontée à un événement traumatique excessivement lourd, comme une catastrophe. Il y a ceux qui, après quelques années, guérissent complètement et ne présentent aucun symptôme, tandis que d'autres continuent à reproduire constamment des événements traumatiques. ## Symptômes et comportements Ces personnes peuvent ne plus avoir de symptômes évidents, mais des symptômes flous et non apparents persistent, tels que : - **Changements d'humeur** : La personne devient extrêmement irritable. - **Ralentissement de l'activité** : Une personne qui était auparavant active cesse de manifester de l'activité dans sa vie, et son niveau d'activité diminue considérablement. - **Comportement régressif et dépendant** : Un besoin constant de la présence d'autrui pour être accompagné ou aidé. Avec le temps, cet état de dépendance et de régression peut apporter des bénéfices secondaires, comme dans le cas de la névrose, où la personne reçoit soutien et aide des autres. ## Névrose traumatique et changements terminologiques La névrose traumatique, ou pathologie traumatique, a connu plusieurs changements de terminologie. Au départ, elle était appelée **névrose de froid** par Kraepelin, puis **névrose traumatique** pendant de nombreuses années. Pourquoi "névrose" ? Parce que les symptômes sont ceux d'une névrose, c'est-à-dire des expressions somatiques, des crises d'angoisse, etc. De plus, les patients sont conscients de leur état, ce qui exclut la psychose. À partir des années 80, un changement important a eu lieu, notamment aux États-Unis, lié à un mouvement soutenu par les vétérans de la guerre du Vietnam. Ils ont plaidé pour que la névrose ne soit pas qualifiée de traumatique, car cela impliquait que la personne avait une prédisposition à la névrose. Ils ont milité pour que cela soit simplement appelé **syndrome** et non pas **traumatique**, mais **post-traumatique**. ### Différence entre traumatique et post-traumatique - **Syndrome traumatique** : Cela implique qu'il y a eu un traumatisme résultant d'une prédisposition et d'une agression extérieure. - **État de stress post-traumatique** : Cela reconnaît qu'il y a eu un traumatisme objectif, et que les symptômes qui en résultent sont des conséquences de ce traumatisme. ## Impact socioculturel Ce changement de terminologie n'est pas seulement médical, mais aussi socioculturel. Au fil des décennies, la société occidentale a commencé à accorder plus d'importance aux victimes, et leur statut est devenu plus digne d'intérêt et de protection. Cela a conduit à une évolution des idées sur le traumatisme, où l'accent a été mis non seulement sur l'organisation psychique de l'individu, mais aussi sur le traumatisme lui-même. ### Facteurs de vulnérabilité Aujourd'hui, nous parlons de **facteurs de vulnérabilité** plutôt que de prédisposition, car cela est moins stigmatisant. Ces facteurs peuvent être étudiés et peuvent favoriser la réaction d'une personne à un événement traumatique. Par exemple, une personnalité borderline peut être considérée comme étant dans une zone de risque pour développer des réactions extrêmes, comme la dépression, lors de la perte d'un être cher. ## Conclusion Il est essentiel de comprendre la pathologie traumatique, ses circonstances et ses ramifications, ainsi que le regard de la société sur la notion de traumatisme. Ces connaissances sont nécessaires pour appréhender la place particulière de la notion traumatique dans la psychanalyse, notamment chez Freud. ### Périodes de Freud Nous devons distinguer des périodes extrêmement différentes dans la compréhension du traumatisme chez Freud. Au début de sa carrière, il a utilisé l'hypnose pour traiter des troubles névrotiques, souvent liés à des souvenirs refoulés d'événements traumatiques, généralement de nature sexuelle. Freud a constaté que ces souvenirs, souvent liés à des scènes de séduction, restaient inélaborés et refoulés, car l'enfant n'était pas en mesure de réagir adéquatement à ces événements. Ce n'est qu'après la puberté que ces souvenirs pouvaient resurgir, souvent déclenchés par des événements mineurs dans la vie adulte. ### Transition vers la névrose traumatique Avec le temps, Freud a abandonné l'idée que toutes les hystéries étaient causées par des souvenirs réels de séduction. Il a introduit la notion d'**après-coup**, où un événement passé peut acquérir une signification et un impact dans le présent. Ainsi, la névrose traumatique a évolué, et Freud a commencé à décrire les névroses de guerre pendant la Première Guerre mondiale, en se concentrant sur le traumatisme d'une manière différente de ses premières théories. # Caractère de la Traumatologie Voilà, donc dans la partie, nous allons commencer à discuter maintenant après Freud, car il ne va pas revenir là-dessus. Comment peut-on considérer la notion de traumatisme au sens psychanalytique du terme ? Entendu que nous allons plus en détail examiner la notion de traumatisme dans les travaux psychanalytiques des successeurs de Freud, et que nous ne reviendrons pas aux travaux de Freud lors de ce séminaire. Il est très important de se rappeler que le caractère sexuel de la traumatisation est une pause de minutes, d'accord ? Donc, on fait la pause maintenant et on reprend à la demi, ok ? Tout de suite, 30 minutes. ## La Notion de Traumatisme Comme vous avez compris, après l'abandon de la névrose, le terme de traumatisme sexuel pour la psychanalyse devient l'expression métaphorique des bouleversements que nous allons tous connaître à la puberté, à l'adolescence, à l'âge des jeunes adultes, du fait de la découverte de la sexualité génitale. Ce traumatisme n'a rien de traumatique ; c'est le bouleversement de la pulsion génitale telle qu'elle apparaît dans notre vie. Ce n'est qu'avec Ferenczi, que nous allons voir plus tard, que le traumatisme en tant que sexuel va apparaître à nouveau dans la littérature psychanalytique. ### Transition de la Théorie Ferenczi abandonne la théorie de la névrose et refuse l'idée que la traumatisation sexuelle, ayant eu lieu dans la réalité, influence la formation des symptômes hystériques. Dans la littérature psychanalytique ultérieure, le terme de traumatisme sexuel est plutôt considéré comme une métaphore des processus qui se déroulent à la puberté, lorsque l'adolescent découvre la sexualité génitale et que ses pulsions se retournent et s'activent. Ce n'est pas un traumatisme au sens strict du terme, mais un processus d'activation des pulsions. Néanmoins, Ferenczi, dont nous parlerons plus tard, va introduire l'idée que ce n'est pas la sexualité infantile, la scène de séduction, qui est l'épicentre du traumatisme dans la conception psychanalytique de la pathologie traumatique. ### Le Moi et le Traumatisme Qu'est-ce que c'est alors ? C'est tout simplement ce que le traumatisme, la névrose traumatique, a toujours été, c'est-à-dire une atteinte à l'intégrité du moi. Cela ne sera pas considéré comme un facteur en soi dans l'étiologie de la névrose. Alors, que considérerons-nous comme facteur central dans nos travaux sur la névrose de l'effroi, décrite par Kraepelin dans le traumatisme névrotique ? C'est le moi. N'oubliez pas que pour Freud, le moi, tel qu'il est défini dans le texte de 1914, est l'investissement sexuel libidinal d'une entité qui est avant tout la convergence des différentes parties du corps jusqu'à l'apparition d'une unité. Cette unité-là, il l'appelle le moi. Freud considère que ce que nous appelons en métapsychologie le moi est une évolution du moi corporel. C'est une unification, dit-il, des autoérotismes qui sont disparates au début de la vie. ### Traumatisme Narcissique De ce point de vue, on peut dire que, étant donné que le moi est l'entité qui est investi de façon libidinale par la pulsion, et que cet investissement libidinal est ce que nous appelons le narcissisme, toute atteinte à l'intégrité du moi peut être considérée comme un traumatisme. Ainsi, nous avons un traumatisme dans les situations où quelqu'un est violemment agressé, violé, maltraité, ou d'une manière ou d'une autre mis dans une situation de fracture. C'est ce qu'on appelle le moi, les fractures du moi. Mais nous avons aussi un traumatisme chaque fois que ce moi, investi libidinalement, ce que nous appelons le narcissisme, se trouve attaqué, par exemple, humilié ou par des remarques blessantes qui mettent en cause notre honneur ou notre bonne image de nous-mêmes. Tout cela peut entrer dans la définition du traumatisme au sens psychanalytique du terme, qui sera donc par définition un traumatisme narcissique. ### La Clinique de Ferenczi Vous vous souvenez ici que Winnicott, qui a beaucoup travaillé sur les traumatismes précoces, a toujours soutenu l'idée qu'en dehors de l'investissement vers l'objet, il y a le problème du verbe "être". C'est-à-dire qu'il y a un certain nombre de situations qui sont en lien direct avec le "being". Autrement dit, le traumatisme est par définition narcissique. C'est sur ce terrain-là que va apparaître une notion qui va jouer un grand rôle dans les débats entre psychanalystes, et qui est la notion du traumatisme de la naissance. ### Conflits Théoriques Ce concept va être un point de conflit entre Freud et Rank, car c'est Rank qui va introduire cette notion en psychanalyse. Le terme va être abordé lorsque Freud commence à travailler différemment la première théorie de l'angoisse. Quand Freud commence à réexaminer la question de l'angoisse, il va dire que peut-être la naissance est la source, le modèle de toute angoisse. ### Conclusion Nous avons donc vu que la névrose traumatique, la névrose de guerre, menace l'intégrité du moi, et qu'il y a un retour du traumatisme sexuel, mais cette fois-ci d'une manière qui entrave le développement de l'enfant. Ferenczi, donc, parle de traumatisme avant tout du moi, et nous arrivons à la notion de traumatisme narcissique. Ainsi, nous avons commencé avec l'hypothèse de Freud sur le traumatisme à la base de l'étiologie de la névrose, puis nous avons discuté de la névrose de guerre, et enfin, nous avons abordé les aspects du traumatisme qui intéressent de plus en plus les psychanalystes contemporains. # Introduction Nous allons aborder ici la notion de traumatisme dans le cadre de la psychanalyse, en nous concentrant sur les éléments qui constituent la psyché et leur organisation. Freud a accordé une grande importance au rôle de l'inconscient, cherchant à identifier des éléments dans la vie psychique du sujet qui lui étaient inconnus. Dans cette nouvelle conceptualisation, l'accent est mis sur ce que l'individu ne voit pas, ne sait pas, et ne ressent pas. ## La Clinique de la Déficit Le traumatisme n'est pas seulement lié à un événement qui a eu lieu et qui a été oublié, mais plutôt à ce qui n'a pas eu lieu dans la vie réelle du sujet, mais qui aurait dû être présent pour que son "je" puisse se développer correctement. Nous sommes ici face à une clinique de la déficience, où l'attention se porte sur les éléments et les processus qui auraient dû exister, mais qui ont fait défaut dans la vie du sujet. ### L'angoisse sans nom Nous nous interrogeons sur de nouvelles formes d'angoisse que Freud n'avait pas envisagées. Winnicott évoque l'angoisse sans nom, qui signifie que nous avons une angoisse pour laquelle nous n'avons pas de représentation mentale. Cette angoisse ne porte pas de nom car elle se situe en amont de toute possibilité de représentation. Il parle également de la crainte de l'effondrement, un effondrement qui a déjà eu lieu à une époque précoce où aucune représentation mentale n'était possible. Le sujet, par la suite, peut ressentir une angoisse liée à cet effondrement sans en avoir conscience. ## Les Crises de la Vie Nous pouvons considérer que notre existence humaine est marquée par un certain nombre de crises, telles que : - **La naissance** : Considérée comme un premier traumatisme. - **La puberté** : Un bouleversement lié à la découverte de la sexualité. - **La parentalité** : Un autre moment de crise dans la vie. Ces crises remettent en question la préparation du sujet à accueillir les changements, et l'angoisse qui en résulte peut être une angoisse automatique, souvent liée à des expériences traumatiques. ### L'Irreprésentable Nous entrons ici dans le domaine de l'irreprésentable, ce qui ne peut pas être assimilé ou métabolisé par le sujet. Cela est particulièrement pertinent dans le contexte des traumatismes de guerre, où l'excitation dépasse les capacités d'élaboration psychique. ## Les Processus de Traitement du Traumatisme Nous pouvons décrire plusieurs processus que le psychisme utilise pour faire face à la persistance d'un élément traumatique : 1. **La sexualisation** : Tentatives de lier le traumatisme par des relations sadomasochiques. 2. **La neutralisation** : Manifestée par des pathologies somatiques. 3. **L'isolement** : Maintien d'une partie du moi liée au traumatisme, souvent observé chez des personnes ayant des modes de vie superficiels. 4. **La réexternalisation** : Le traumatisme est projeté à l'extérieur, souvent par le passage à l'acte. ## Conclusion En psychanalyse, le traumatisme est perçu comme une rupture de continuité, une atteinte à l'intégrité du moi. Il est essentiel de comprendre que le traumatisme peut être narcissique, touchant non seulement l'intégrité du moi, mais aussi le moi idéal. Les humiliations et dévalorisations constituent également des formes de traumatisme. Ainsi, nous avons vu que la conception du traumatisme a évolué depuis les travaux de Freud, notamment avec l'introduction de la pulsion de mort, ce qui nous amène à repenser notre compréhension du traumatisme dans le cadre de la psychanalyse contemporaine. # Introduction Dans ce texte, Freud aborde les situations traumatiques et la répétition de ces situations. Par exemple, il souligne que le résultat d'une situation traumatique est l'apparition de **compulsions**. L'expérience traumatique a tendance à se reproduire. ## La Pulsions et la Tendance à la Répétition Il a même considéré que cela prouve que la pulsion elle-même a une tendance conservatrice, en ce sens qu'elle a une tendance à **réagir** en arrière, jusqu'à l'inorganique, c'est-à-dire la mort, l'absence de vie. ### Tendance Générale Freud a considéré que ceci peut être vu comme une tendance générale. À cet égard, il apporte les preuves suivantes : - L'attirance a tendance à la **conservation**. - Elle a une tendance à revenir à un état **inorganique**. ### La Pulsions de Mort De ce point de vue, nous pouvons dire que la tendance à la répétition, que Freud lie à la pulsion de mort, est le contraire absolu de la tendance à la nouveauté. Cette tendance à la nouveauté, une grande psychanalyste française l'a appelée **salut**. Nous sommes condamnés à investir, et probablement cette condamnation à investir est l'indice le plus caractéristique dans la théorie psychanalytique des pulsions de vie. ## Conclusion Ainsi, la pulsion de mort caractérise l'attirance vers la mort, et la tendance à la répétition est opposée à la tendance à créer quelque chose de nouveau. Cette tendance à la nouveauté, liée à l'investissement, est un indicateur de la présence de la pulsion de vie. Nous attendons la conférence suivante. Bonne soirée à tous, merci !

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